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La Petite Fée A...

30 mai 2011

Petite Robe Printanière

Je refais surface... bien du temps s'est écoulé depuis mon dernier post, car je dois bien le reconnaître, l'envie m'a manqué. Il y a eu tout d'abord les vacances, puis la famille à la maison, et... le manque de temps, le manque d'envie surtout, m'ont finalement fait déserter mon blog plus longtemps que je ne l'aurais souhaité au départ.

Une petite robe a vu le jour il y a quelques temps déjà. J'ai puisé dans mes réserves de tissus et ai choisi ce si joli imprimé fleuri dégoté dans un magasin de tissus du côté de La Rochelle. Je regrette de n'en avoir pris qu'un mètre, il m'en manque pour faire un bloomer assorti. Car s'il y a bien une chose dont j'ai horreur, c'est que mon bébé montre ses couches. Et puis c'est si chou, un petit bloomer ! Bref, pour revenir à la robe... un modèle Dorothée de Citronille... des explications incompréhensibles si bien que j'ai fini par tout monter à l'aveuglette (et finalement je ne m'en suis pas si mal sortie), et bien sûr, un modèle trop large et trop court, j'aurais dû m'y attendre...

Enfin, je mets une photo du gilet dont j'annonçais l'arrivée dans mon précédent post. Il était temps, mais comme on dit, "mieux vaut tard que jamais". Un gilet qui m'aura donné du fil à retordre, car si le motif et la forme sont certes très jolis, la conception n'en reste pas moins minable. Phildar fait de très jolis modèles, mais pour certains, je déplore que les finitions soient plus que moyennement soignées. Ainsi, les bordures d'encolure et de boutonnage auraient dû rester à cru. Or, du jersey à cru, à moi ça me pose problème. D'une part, parce que ça roulotte et que je n'aime pas vraiment cet effet, d'autre part parce que ça ne fait pas fini, tout simplement. J'ai donc rajouté une bordure au point écrevisse sur tous les bords du tricot. Une fois repassé soigneusement, ça ne roulotte (presque) plus. Ouf !

Dorothée 1

Robette modèle Dorothée de Citronille

 

Dorothée 2

Un style "Petite Fille Modèle" pour une petite coquinette...

Dorothée 3


Gilet Corail

Gilet Corail, modèle Phildar, laine Guéret de Fonty (une merveille à tricoter)

 

A venir bientôt (enfin tout est relatif) de nouveaux tricots... j'ai fait une commande chez Drops et ai en prévision deux modèles de gilets pour la Fée qui grandit...

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12 avril 2011

Ne jamais remettre au lendemain...

Hier, le soleil brillait. J'ai pensé faire les photos que je dois faire depuis longtemps, mais je ne l'ai pas fait. Aujourd'hui, le temps est morne, le ciel est gris... la lumière n'est plus adéquate pour faire de jolies photos. Eh bien cela m'apprendra ! Je me maudis, j'aurais dû faire les photos tant qu'il était encore temps.

Car ces cousettes sont terminées depuis... trois semaines au moins. Le temps passe, le temps file, et je ne fais rien. Les courses, le ménage, un peu de tricot par-ci, par-là, les premiers mots de la Fée... et je ne prends le temps de rien.

Voici tout de même ce qui aurait dû être présenté ici depuis fort, fort longtemps... mais qui l'est aujourd'hui, mieux vaut tard que jamais. Pas de photo portée, évidemment, puisque les températures ne s'y prêtent plus (et toc, ça m'apprendra !).

 

PeoriaPeoria modèle C'est Dimanche, piqué de coton blanc et bleu marine

 

Une Peoria de Soeur Alma. Un petit bijou à coudre, ce modèle. Comme tous ses modèles d'ailleurs. Taillé en 2/4 ans, il est un poil trop large pour ma crevette de petite fille. Mais ça ne lui ira que mieux l'année prochaine ! Rallongé également, car je voulais une robe au lieu d'une tunique. J'avais jeté mon dévolu sur un modèle Jacadi totalement similaire... les coloris, la forme, les noeuds-noeuds (d'ailleurs en parlant de noeuds... il n'y en a qu'un et c'est totalement fortuit... le second attendait patiemment d'être cousu, lorsque je me suis aperçue que mon très cher et tendre mari l'avait... mis à la poubelle. Le bougre !! Je fulmine... il ne me reste plus qu'à en refaire un...). J'ai choisi du piqué de coton blanc et bleu marine. Un ruban blanc dans le bas m'a permis de cacher cette affreuse entaille que j'ai faite, en voulant tailler juste sous le patron, au lieu d'ajouter les 8cm requis pour transformer la chose en robe...

 

LottieLottie modèle Citronille, batiste à motifs de chez Cousette

 

Et enfin, une petite Lottie de Citronille. J'aime ce modèle, frais et intemporel. Aucune modification à déclarer, si ce ne sont les élastiques au bas des jambes. Les entre-jambes qui baillent et dévoilent la couche, très peu pour moi. Et puis ce petit côté bouffant me fait craquer.

Un petit tricot fera prochainement son apparition sur mon blog... il me reste à terminer une manche, à la monter... repasser le tout et ce sera fini. Les finitions au crochet sont déjà faites, elles m'ont permis de me changer les idées entre deux manches... un modèle Phildar (j'avais pourtant juré que l'on ne m'y prendrait plus), joli... mais mal conçu, malheureusement. Sur les photos des modèles, c'est curieux, le jersey ne roulotte JAMAIS. Et franchement, un col à cru, en jersey, sans finition aucune... c'est juste affreux !! Les bords au point d'écrevisse sont donc de moi...

Photo bientôt, promis !

 

Claire : je te fais un mail dans la semaine, sans faute !

1 avril 2011

Deux ans...

J'avais juste envie de revoir ça...

 

Apolline_mater

Apolline, deux jours...

 

Apolline_2_ans

Apolline, 2 ans...

 

 

Le temps passe trop vite et je ne la vois pas grandir...

 


22 mars 2011

Triste France...

Dans la salle d'attente d'un médecin.

Clientèle féminine, je retrouve donc sur la table basse au centre de la salle, des magazines féminins. Et uniquement cela. Pauvres oies futiles que nous sommes, sûrement incapables de pouvoir lire autre chose. 

Consciente que l'attente peut être longue, je me résigne donc, et prends le premier magazine sur la pile. Bien.

Je lis en diagonale. Et j'éclate de rire. Petit florilège...

- La nouvelle tendance, c'est d'assortir ses lunettes à son lipstick, pour un coup de flush immédiat (??). Alors lipstick, je connais. Bien que je ne voie pas bien l'utilité d'employer son expression anglo-saxonne. Mais alors le flush, kézako ? Je me le demande toujours. Et l'Homme aussi d'ailleurs. 

- [blabla sur de la poudre illuminatrice, ou produit du genre] pour un shoot d'éclat sur le teint. Un coup d'éclat, c'était vraiment trop demander ?

Mais attendez, attendez... le meilleur reste encore à venir.

- [les cheveux bouclés sont tendance] donner un léger coup de brosse à son curly pour un mousseux qui swingue. Sans commentaire.

- [cheveux coupés court] pour casser le côté boyish de la coupe [...].

Alors évidemment, la plupart du temps, je comprends. Grâce aux quelques réminiscences de mon anglais scolaire, je comprends. C'est certain. Mais je m'interroge vraiment sur l'intérêt d'employer ces mots anglais à tout bout de champ dans un magazine féminin. Et je ne parle pas d'anglicismes ! L'anglicisme ne concerne que des termes anglais utilisés là où le français fait défaut. Mais dans le cas présent, bien des termes ou expressions français pouvaient être utilisés.

Alors la question qui me vient logiquement est la suivante : mais pourquoi utiliser ces termes anglais, plutôt que d'employer les bons mots français ? La seule réponse qui me vient spontanément est la suivante : ça fait vendre ! Parce que, autant que j'aie pu constater autour de moi, parler le "franglish", ça fait bien. Oui Mesdames, ça fait "bien". Ca fait "moi je sais parler anglais, et d'ailleurs je parle tellement bien, que les mots me viennent spontanément en anglais plutôt qu'en français, alors excusez-moi, mais ça me vient comme ça. Je pense en anglais, moi !". 

Eh bien à moi, cela me fait peur. Et cela me fait de la peine aussi. Nous avons la chance d'avoir une langue extrêmement riche, belle, vivante. Avec un mot pour chaque chose. Plusieurs mots, même, souvent, pour chaque chose. Des ressources incroyables pour qui veut exprimer pleinement ce qu'il veut dire. Sans ambiguïtés. Sans à-peu-près. Alors pourquoi, mais pourquoi donc, s'évertuer à tuer le français, au profit de l'anglais ? Je sais, je sais, la "langue de Shakespeare". Certes. Mais au détriment de celle de Molière ? De Baudelaire ? de Proust, de Zola, de Voltaire ?

Je fais partie de ceux de ma génération, la dernière génération peut-être (sûrement), à avoir encore eu la chance de pouvoir apprendre un français correct. Ou tout du moins, à l'avoir appris dans de bonnes conditions. Des conditions qui n'ont pas été polluées de SMS (encore de l'anglais !), de mails (!! messages électroniques), forums ou autres Facebook. Non pas que je leur jette la pierre, étant moi-même une utilisatrice assidue. Il faut vivre avec son temps ! Mais ils sont apparus sur le tard. A une époque où je savais déjà écrire... quid de nos enfants, demain ? Va t-on connaître la mort de l'école "à l'ancienne" comme j'aime à l'appeler ? Les lignes d'écriture, les syllabes annonées, l'odeur de la craie qui flottait dans la salle de classe, l'odeur des livres, des cahiers, en début d'année... cette odeur qui nous rappelait que ça y est, c'était la rentrée. Demain, restera t-il seulement des livres, ou seulement des "e-books" ? Et des cahiers, y en aura t-il encore ? Ou seulement des ordinateurs...  et ce bon vieux tableau noir, qu'on nettoyait en fin de journée en quatrième vitesse, pour ne pas risquer quitter la classe avec trente secondes de retard, va t-il être définitivement remplacé par l'informatique ? Ma fille aura t-elle la chance de connaître ces petits bonheurs de la vie, de la vie simple ?

Oui, cet article édifiant hier, m'a fait peur. Car si ce langage facile envahit d'ores et déjà les cours d'école, les rues, et, je n'en doute pas un instant, les milieux professionnels, les Curriculum Vitae... j'avais espoir qu'il subsiste encore, dans la presse écrite, un bastion résistant de français. Je ne pousserai pas le vice à dire du "bon français", eu égard à la qualité de la presse féminine en question.

Mais si même les journalistes de presse écrite n'ont plus à coeur de véhiculer le français, où donc va t'on pouvoir à présent la préserver, notre langue ? Je ne parle pas des journalistes télé, qui eux, m'ont fait perdre tout espoir il y a déjà bien longtemps. Combien de fois ai-je pu entendre toutes sortes de fautes de français, néologismes, fautes d'accords, défauts de liaisons (ou pire, des liaisons "mal-t-à propos" comme dirait ma maman). Eh oui, messieurs les Journalistes, "trois centS" euros prend un "S", et j'aimerais entendre la liaison. J'aimerais aussi ne plus entendre des "aujOrd'hui" ou des "malgré que". Et la liste pourrait être longue. Trop longue.

Alors hier, sur ce triste constat, ma feuille de chou dans les mains, j'ai souri. Oui, j'ai souri. J'ai souri, parce que je me suis aperçue qu'à vingt-neuf ans, en essayant désespérément de comprendre ce qu'avait voulu dire la chroniqueuse... je suis définitivement dépassée. Pas à la page. Pas dans le vent. Ringarde. Out.

 

 

20 mars 2011

Parce que les mots ne suffisent pas...

 

 

Le Japon pleure...

(click click sur l'image pour découvrir cette belle initiative)

 

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Crédits : Image par Brischri -  Flickr

 

 

Ne pas oublier également : La Croix Rouge

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19 mars 2011

Deux Ans !

Ca y est... on y est ! Deux ans. Deux ans, déjà ! Et pour l'occasion, j'ai testé la pâte à sucre. Grande première pour moi, je suis assez contente du résultat, bien que ce soit vraiment très loin des merveilles que j'ai pu trouver sur le net. Mais ça me fait un bon entraînement pour les futures fêtes d'anniversaire qu'elle ne manquera pas de me réclamer !

 

Gateau_1

Gâteau Fée Clochette (Framboisier, Décors Pâte à sucre)

Gateau_2

 

G_teau_F_es_1

1.2.3, souffle, souffle, souffle !


Gateau_3

Dis-moi, la Fée... quel âge tu as aujourd'hui ?

 

Joyeux Anniversaire ma Fée ! Plein de bonheur, mon Adorée. Des étoiles dans les yeux, des papillons dans le coeur, de la poussière de fée dans ta vie, mon Apollinette chérie !

11 mars 2011

Garder son sang froid...

mais finir quand même avec quelques touffes de cheveux en moins. Garder son calme quand même. Et dénouer, centimètre par centimètre, le coton récalcitrant. Parce que tout partait pourtant bien. Un écheveau tout beau, tout doux. Un bobinoir qui a quelques décennies derrière lui, mais qui rend encore et toujours de fiers services. Une bonne volonté à toute épreuve, une naïveté bien trop grande... et voilà le résultat !

Et tout ça pourquoi ? Pour épargner l'Homme... ou plutôt m'épargner le calvaire de lui demander de me prêter pour quelques minutes, ses mains salvatrices. Ses mains qui auraient pu tenir l'écheveau. Ses mains qui auraient pu guider la laine, prévoir les noeuds.

Bref... cette petite mésaventure m'aura appris une chose et placée devant l'évidence. Dorénavant, je devrai :

1 - Acheter un dévidoir ou 2 - Ne pas épargner l'Homme (j'entends déjà les grognements mécontents, les soupirs lourds de reproches, son ton bougon et sa râlerie) la prochaine fois que j'aurai besoin de peloter un bout de laine.

Il faut voir le bon côté des choses : j'ai vaincu ! Comme César... seule ombre au tableau... il faisait beau (comprendre par là : il faisait JOUR dans ma pièce, et c'est quand même bien plus agréable de tricoter à la lumière du jour plutôt que sous la lumière de la lampe) et j'avais envie de profiter de la sieste de la Fée pour tricoter un peu. Tranquille. Toute seule. Eh bien voilà... ce qui devait arriver arriva. Le dernier peloton peloté (hmm...), le cri du bébé brailleur a retenti, sonnant le glas de sa sieste... et de ma tranquillité par la même occasion.

 

Gros_Noeud_1

 

Gros_Noeud_2

Coton Luna de Cascade Yarns coloris vert d'eau (sublime), acheté chez Princesse des Neiges (top !)

 

8 mars 2011

S'émerveiller d'un rien...

Je suis sûre que chaque maman sur terre a un jour connu ça. Cette bouffée d'amour fou, inconditionnel, pour un exploit nouveau de son tout-petit. Pour une chose anodine, tellement anodine qu'elle ne serait même pas relevée par qui que ce soit d'autre, mais pour une maman... pour une maman, ce petit truc futile et complètement banal devient soudain le plus bel exploit qui soit.

La Fée : (dans l'embrasure de la porte du salon, doigt pointé vers la cuisine) *Charabia incompréhensible*

Moi : Tu veux une autre tartine ?

La Fée : Woua, woua ! (comprendre : oui, oui)

Moi : Ouiiii ?

La Fée : (dans un effort surhumain) Wouiiiiiiiii 

Moi : (en train de tricoter et souhaitant finir mon rang avant de tout poser) : J'arrive tout de suite ma chérie ! J'arrive !

La Fée : (partant en trottinant vers la cuisine) : Ya-i ! Ya-i ! Ya-i  (comprendre : j'arrive bien sûr !)

Moi : (bouffée d'amour inconditionnel, émerveillement devant le progrès inconsidéré de la fée : elle commence à parler !)

C'est beau, c'est bon d'être maman... depuis que je suis maman, j'ai le coeur chamallow...

 

****

 

Et pour le tricot "qui-ne-pouvait-pas-être-posé-avant-la-fin-du-rang", il est terminé, bloqué, et en images...

Gilet_Vert

 

Gilet_Vert_Port__1

 

Gilet_Vert_Port__2

Gilet modèle maison, laine Dolce di Luce coloris Frémissement

 

Evidemment, la couleur laisse à désirer sur photo... quel dommage ! C'est pourtant un bien joli vert anis du plus bel effet. La laine vient de chez Luce (sublime, je suis fan), la même que celle utilisée pour le chauffe-coeur. Le modèle est fait maison, imaginé d'après la veste Salzbourg de Soeur Alma. J'aurais pu appeler ce gilet "celui qui aurait dû avoir des manches". Oui, parce qu'à l'origine, il aurait dû y avoir des manches. Et puis Sainte Flemme m'a frappée... le gilet à manches s'est transformé en gilet sans manches. Et pour la déculpabilisation et la bonne excuse... un gilet sans manches c'est plus facile pour un bambin qui les trempe dans tout ce qu'il trouve et principalement dans son assiette à midi. 

(on y croit, là ??)

 

Edit : je viens de m'apercevoir qu'il y a un côté plus long que l'autre. Non, non, ça n'est pas une illusion d'optique. Encore une fourberie de mon mètre ruban ! Ca n'est pourtant pas faute d'avoir mesuré soigneusement le dos, le devant 1, le devant 2. Et surprise ! Au moment de prendre les photos, on s'aperçoit qu'il manque un centimètre d'un côté. Mais qu'est-ce encore que cette diablerie ?

Bon. Encore heureux, ça passe inaperçu sur la Fée. Sinon, j'aurais pu lui faire rejouer le gag du Tailleur !

1 mars 2011

Cadeau de naissance

pour un petit Camille tout mignon. J'avais donc préparé un petit ensemble de chez Dame Citronille pour fêter son arrivée. J'ai taillé du 6 mois, mais j'ai tellement trouvé ça minuscule, que j'en ai fait du 3 mois...  je me suis dit que : 1- les bébés sont vraiment si minuscules ? ou 2- j'ai vraiment oublié à quel point c'est minuscule un bébé. Réponse hier à la maternité : oui, c'est vraiment si minuscule un bébé, et oui, j'avais oublié à quel point ça l'était. Donc finalement, ça doit plus ressembler à du 6 mois qu'à du 3 mois.

J'ai donc choisi de lui faire une brassière à encolure arrondie avec la fausse patte de boutonnage, un bloomer en lainage, un petit chauffe-coeur et un bavoir. Le tout rangé dans une pochette en tissu confectionnée dans l'urgence avant de partir voir la maman à la maternité, lorsque je me suis aperçue que je n'avais plus de papier de soie pour emballer proprement le tout.

En avant pour le choix des tissus : batiste blanche, batiste souris étoiles figue, popeline brume, popeline banane de chez France. Lainage anthracite MT. Laine Fonty N°5 coloris orage (ou tempête... enfin c'était ce genre de météo).

 

Naissance_Camille

 

 

Et encore une fois, toutes mes félicitations aux heureux parents, j'ai rencontré hier une petite merveille de bébé, tout petit, tout fragile, et tellement beau !!

26 février 2011

Galway, encore et toujours...

... modifié ! Exit le pli, cinq bons centimètres en moins en longueur, et... curieusement, un col remonté tout seul par magie (je n'ai toujours pas compris la supercherie sur ce coup là, mais il faut avouer que c'est quand même très bien tombé). Pas de parementure mais un biais, mais ça maintenant c'est habituel, vu mon incapacité totale à faire tenir une parementure proprement sur l'envers... 

Photos prises au sortir du bain, et une Fée victime d'une maman tortionnaire... la prendre en photo, c'est vraiment trop dur, quoi !

Tunique_plastron_fleuri_1

Cotonnade beige à pois blancs MT, cotonnade fleurie MT, dentelle du stock

Tunique_plastron_fleuri_2

 

Tunique_plastron_fleuri_3

 

Il ne manque plus qu'un petit gilet couleur crème pour réchauffer cette petite tunique toute esseulée, la pauvre... en plus, c'est pas comme si la Fée n'avait rien à se mettre sur le dos, pauvre choute. Mais quand même, il manque un gilet crème. A godrons. Voilà. Parce que c'est ma lubie du moment.

 

Et une super après-midi entre copines, comme ça faisait (trop !) longtemps que ça n'était plus arrivé, merci les filles ! Et puis nos poulettes, je crois qu'elles se sont bien amusées aussi, les fripouilles...

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